Le TEM de Goviller accueille 25 artistes du 5 juin au 2 octobre. Sculptures, gravures, peintures, son, vidéo... sont présentés dans de superbes espaces intérieurs et extérieurs.
J’ai
voulu illustrer la non-permanence des choses et des êtres par une installation
qui évoque la fragilité de la vie. Tout ce qui apparaît est voué à disparaître
et tout change constamment. Tout ce que nous voyons
est en état de transformation perpétuelle : les apparences se dessinent,
puis disparaissent ou se désintègrent. En
contrepoint à ces centaines de feuilles de porcelaine blanche en lévitation dans le
noir, 3 rochers noirs à base
blanche, massifs renvoient un sentiment d’immobilité et d’intemporalité
mais subissent également le processus d’altération qui aboutira là aussi à
la transformation, au changement et à la disparition.
Stéphane Galmiche présente dans le même espace intimiste ses portraits dans des rouges profonds qui ont fait sa réputation et des gris à venir... avec toujours le même plaisir commun de faire se rencontrer nos deux univers.
Stéphane Galmiche présente dans le même espace intimiste ses portraits dans des rouges profonds qui ont fait sa réputation et des gris à venir... avec toujours le même plaisir commun de faire se rencontrer nos deux univers.